Toulouse. François Godefroy, professeur d’histoire à l’université du Mirail, spécialiste de la Première Guerre mondiale, disparaît au cours de son footing quotidien. Ce que tout le monde pensait être une banale histoire d’adultère se transforme en affaire criminelle lorsque le corps du disparu est retrouvé, abattu par un revolver de collection utilisé dans les tranchées.
Le capitaine Tarate oriente très vite ses recherches vers une rivalité professionnelle, les postes de maître de conférence étant rares et leur attribution soumise à des jeux de pouvoirs et d’influences complexes. Mais quand son suspect principal est assassiné dans les mêmes conditions, son enquête commence à piétiner.
Faute de nouveaux éléments, une idée un peu folle germe alors en lui : et s’il parvenait à découvrir le coupable en se penchant
sur les travaux des différents protagonistes, et sur les querelles
idéologiques qui les opposent ?
Un polar hitchcockien à l'intrigue machiavélique !

Dans la presse

« Un roman, un vrai, un bon,  » Nicolas Carreau, Europe 1, 19 mars 2024.

« Un très bon roman policier, » Gilles Boizet, L’instant bookiniste, 5 avril 2024.

« Au cinéma on serait du côté de Chabrol, d’Hitchcock, d’une certaine veine italienne aussi… Jean-Yves Le Naour se livre à un exercice de style des plus plaisants avec ce petit polar fidèle aux canons du genre », La Provence, 7 avril 2024.

« L’histoire, inspirée d’Hitchcock, en articule trois qui confèrent du charme à ce court roman« , 20 minutes, 8 avril 2024.

« Mort à l’université se lit avec gourmandise », Mohamed Berkani, France info, 28 avril 2024.

« Le dénouement plaira aux amateurs de Hitchcock« , L’Histoire, 18 septembre 2024.

« Un polar haletant et tendu… Chaudement recommandé !… Ce roman vous attrape le cerveau dès les premières lignes pour ne plus vous lâcher tout au long de 206 pages alertes et captivantes », La Dépêche du Midi, 31 juillet 2024.