Arc de triomphe, Paris, 12 novembre 2020 à janvier 2022.
« Placée sous le commissariat de l’historien Jean-Yves Le Naour, l’exposition célèbre le 100e anniversaire de l’arrivée du Soldat inconnu à l’Arc de triomphe »

Guerre 1914-1918 - Histoire du XXe siècle
Arc de triomphe, Paris, 12 novembre 2020 à janvier 2022.
« Placée sous le commissariat de l’historien Jean-Yves Le Naour, l’exposition célèbre le 100e anniversaire de l’arrivée du Soldat inconnu à l’Arc de triomphe »
"17-18 septembre 1981 : dernière cigarette pour la guillotine", France Inter, Affaires sensibles, 26 novembre 2021.
Table ronde : "La peine de mort avant l'abolition", Panthéon, 20 octobre 2021, 19 heures.
Hamida Djandoubi, une toute dernière peine, France Culture, "Une histoire particulière", 18 et 19 septembre 2021.
Première partie : le faits divers
Deuxième partie : le verdict
La peine de mort, Sud radio, 10 septembre 2021.
Jean-Yves Le Naour, l'un des plus grands spécialistes français de la Première Guerre mondiale, fait revivre au lecteur les étapes clés du conflit de 1914-1918 dans un texte passionnant et enlevé. Ce récit poignant donne des repères chronologiques précis permettant de mieux comprendre le déroulement des opérations et les grandes étapes de cette sombre période. Riche en anecdotes, il plonge le lecteur dans le quotidien de ceux qui l'ont vécue : les poilus qui ont connu l'enfer dans les tranchées, les civils réquisitionnés dans les usines, les femmes qui ont contribué à l'effort de guerre et pour qui ce conflit a marqué le début de leur émancipation…
Le vol du cercueil du maréchal Pétain, France Inter, "Affaires sensibles" (Fabrice Drouelle), 5 mars 2021, 15-16 heures.
Sarajevo mon amour. L’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, sur France inter, dimanche 31 janvier 2021 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire ».
Le soldat inconnu, sur France inter, dimanche 6 septembre 2020 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire ».
A 21h : Le viol d’Alain Tasma, d’après l’œuvre de Jean-Yves Le Naour et Catherine Valenti : Et le viol devint un crime, Vendémiaire, 2013.
A 22h35 : le documentaire : Le procès du viol, écrit par Jean-Yves Le Naour, réalisé par Cédric Condon.
Découvrir l’exposition : les compagnons de la Libération
Le 11 novembre 1918, au matin, Georges Clemenceau déclare à son chef de cabinet : " Nous avons gagné la guerre, il nous faut maintenant gagner la paix, et ce sera plus dur encore. " En effet, outre la mauvaise volonté allemande, il faudra non seulement compter avec la diplomatie d'équilibre des Britanniques qui ne veulent pas trop affaiblir l'Allemagne au profit de la France, mais aussi avec les ambitions du président américain Wilson dont les principes démocratiques pour la reconstruction du monde – le droit des peuples, l'État-nation, la SDN… – privent les Européens de toute politique d'annexion. Loin d'être à l'apaisement, les années d'après-guerre sont marquées par le trouble et l'incertitude.
La guerre continue à l'Est, dans les pays baltes en 1919, entre la Pologne et la Russie de 1920 à 1921, entre les Turcs et les Grecs de 1919 à 1922, tandis que la guerre civile en Russie cause la mort de 5 à 7 millions de personnes. Surtout, le spectre de la révolution bolchevique, victorieuse en Russie, s'insinue de l'Allemagne à la Hongrie en passant par l'Italie. L'ennemi n'est plus tout à fait le germanisme, mais le bolchevisme, infiltré sous la forme des nouveaux partis communistes d'Europe. Un monde radicalement nouveau est né, une nouvelle ère idéologique coincée entre Wilson et Lénine, deux messianismes à côté desquels la France et la Grande-Bretagne ne tiennent plus le premier rôle. En ces années où prévaut l'illusion d'une paix durable, les instabilités, les aigreurs et les déceptions attisent déjà le feu de la revanche. Clemenceau avait raison : il était plus difficile de gagner la paix que la guerre. Et la France, qui a gagné la guerre, a perdu la paix.
Continue readingSur la forme comme sur le fond, on retrouve les qualités de l’auteur : la clarté et la vivacité de l’expression, l’emploi exemplaire de la citation qui donne au texte bon poids d’humour et de vie, et cet art du récit qu’on retrouve plus souvent sous les plumes anglo-saxonnes que francophones. Bref, un régal de lecture et un concentré d’intelligence historique.
Jean Lopez, Guerres et Histoire, avril 2020
Le serment de Koufra, sur France inter, dimanche 22 septembre 2019 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire ».
Après leur débarquement en Afrique du Nord, en novembre 1942, les Alliés soutiennent le général Giraud pour contrecarrer les plans de De Gaulle. Mais l’homme du 18 juin n’est pas du genre à se laisser écarter de l’échiquier politique. Sur le terrain, dans la France occupée, Jean Moulin œuvre pour unifier la résistance. Mais si coaliser les mouvements combattants est déjà difficile, les faire cohabiter avec des responsables politiques de tous bords s’avère presque impossible. Pourtant, De Gaulle fait venir Jean Moulin à Londres et le charge de créer le Conseil National de la Résistance…
Rendez-vous de l’histoire à Blois, 2019 : Jean-Yves Le Naour présente « Fusillé sur son brancard », rencontre organisée par la librairie Mollat.
Cette affaire sera l’une des plus emblématiques après-guerre – elle inspirera d’ailleurs « Les sentiers de la gloire » de Kubrick – mais le soldat ne sera jamais réhabilité.
Ouest-France, 4 mai 2019
Le 11 octobre 1914, au Bois-des-Loges, le sous-lieutenant Julien Chapelant est fusillé pour reddition à l’ennemi. Blessé, la jambe fracturée, il est ligoté à son brancard pour pouvoir être maintenu debout face au peloton d’exécution. Cette affaire, qui a révolté l’opinion, a suscité une grande campagne en faveur de sa réhabilitation, soutenue par les associations d’anciens combattants et la Ligue des droits de l’Homme. Mais comment faire un récit honnête et impartial de cette affaire ? En effet, il est des témoins qui accusent Chapelant et d’autres qui le disculpent intégralement. Où se situe la vérité ?
Plutôt que de bâtir une narration unique qui enfermerait le lecteur dans la vision de l’auteur, Jean-Yves Le Naour a fait le choix de présenter deux versions différentes, délibérément partiales : la thèse de la culpabilité du sous-lieutenant et celle de son innocence. Ainsi, derrière l’histoire de ce fusillé, c’est aussi une réflexion sur la subjectivité de l’histoire et la relativité du témoignage à laquelle nous invite ce livre à la forme inédite. Pour la première fois, l’historien s’efface derrière le lecteur. À lui de se faire juge.
Ces deux éditions regroupent les trois tomes de cette série :
Tome 1 : Avant l'orage
Tome 2 : L'agonie du fort de Vaux
Tome 3 : Les fusillés de Fleury
Le 1er octobre 1968, le corps décomposé de Stevan Markovic, ancien garde du corps et homme à tout faire de l'acteur Alain Delon, est retrouvé dans une décharge sauvage, à proximité d'Elancourt, dans les Yvelines. L'autopsie révèle que le Yougoslave aurait succombé à des coups portés à la nuque et à la tête par un objet contondant. Retour sur cette affaire criminelle qui donna lieu à un scandale politique, destiné à ruiner la carrière de l'ancien Premier ministre Georges Pompidou.
1919, l'assassinat (raté) de Georges Clemenceau, sur France inter, dimanche 7 avril 2019 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire ».
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