1919, l'assassinat (raté) de Georges Clemenceau, sur France inter, dimanche 7 avril 2019 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire ».
Auteur/autrice : Webmestre (Page 3 of 10)
Perrin, 2019, 200 p.
Coup de revolver contre M. Clemenceau. Le président du Conseil serait légèrement blessé " ( Le Populaire) ; " Un attentat contre la France victorieuse. Dix balles contre Clemenceau " ( L'Action française) ; " Le criminel serait un anarchiste " ( La Croix) ; " Vive Clemenceau ! " ( Le Petit Parisien) : la une des journaux, le 20 février 1919, dit assez l'émoi suscité par la tentative d'assassinat dont fut victime le " Père la Victoire " le jour précédent. La veille, en effet, à 8 h 40, Clemenceau prend place à l'intérieur de la Rolls-Royce conduite par son chauffeur Coujat pour se rendre au ministère de la Guerre. À l'angle de la rue Franklin et du boulevard Delessert, un jeune anarchiste, Émile Cottin, surgit et fait feu à sept reprises sur la voiture, blessant le président du Conseil. Moins d'un mois plus tard, Cottin est condamné à mort, mais le " Tigre ", fidèle à ses principes, obtient que sa peine soit commuée en dix ans de réclusion.
Dans la presse
L’Assassinat de Clémenceau, raconté par Jean-Yves Le Naour, Loïc di Stefano, Boojum : l’animal littéraire, 14 février 2019.
Comment Clemenceau a survécu à un attentat il y a 100 ans , Michel Derrien, Ouest-France, 2019.
1919 : L’assassinat manqué de Georges Clemenceau, interview sur Retronews, 2019-2020.

1919 : L'assassinat manqué de Georges Clemenceau, interview sur Retronews, 2019-2020.
Comment Clemenceau a survécu à un attentat il y a 100 ans, Michel Derrien, Ouest-France, 2019.
Coffret, Bamboo (Grand Angle), 2019.

Cette édition regroupe les trois premiers tomes de cette série :
Tome 1 : Pierre Messmer
Tome 2 : Général Leclerc. Le serment de Koufra
Tome 3 : Jean Moulin
Frédéric Blier / Jean-Yves Le Naour, Bamboo (Grand Angle), 2019, 56 p.
Fin 1940, le colonel Philippe Leclerc, aux ordres de de Gaulle, décide d’attaquer Koufra, une oasis libyenne située à plus de 1 500 km. La mission semble démentielle, car il faut traverser la ramla, un sable dans lequel les voitures s’enfonceront, puis la hamada, le reg, la roche mise à nu par le vent. Sans compter ces montagnes qui culminent à plus de 3 000 mètres. Le tout sans routes, sans cartes, sans points d’eau et avec le vent. Pourtant, avec 400 hommes et 56 véhicules, Leclerc va tenter l’impossible pour mettre en déroute l’armée italienne.
Xavier Mauduit / Jean-Yves Le Naour, 2019, produit par le Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux, 4 vidéos sur Youtube :
Le monument américain de Meaux
Le cimetière de Chambry
Notre Dame de la Marne
La grande tombe. Charles Péguy
L'armistice, sur France inter, dimanche 11 novembre 2018 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, «Autant en emporte l’histoire».
Musée de la Grande Guerre, Meaux, du 2 juin au 2 décembre 2018
Consulter le dossier de presse
Condon Cédric / Jean-Yves Le Naour, France 3, Point du Jour, Kilaohm Productions, ECPAD, 2018, 90 mn.
Visionnable à cette adresse : https://fr-fr.facebook.com/france3/videos/doc-la-guerre-de-tous-les-fran%C3%A7ais/1060553477461536/
Ce documentaire livre un récit du quotidien des Français pendant la Grande Guerre. Car la victoire de novembre 1918 fut avant tout celle d'un pays qui a su mobiliser ses ressources, ses bras et sa volonté. Elle doit son avènement à la foule des sans-grades, des obscurs, des anonymes. Dans cette première guerre totale, chacun tenait sa place : les enfants dans les écoles, les ouvrières dans les usines, les paysans dans les champs, les boulangers dans leurs ateliers, les députés dans les commissions parlementaires ou encore les maires dans leur commune ont, chacun à leur manière, opposé leur résistance à l'ennemi en fournissant les ressources nécessaires à l'effort de guerre.
Saul Dibb, 2018
Film labellisé par la mission centenaire
La version française contient des bonus historiques exclusifs
Présentation des grandes périodes de la Guerre 14-18 par Jean-Yves Le Naour.
Jean-Yves Le Naour / Philippe Nivet, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Picardie : contexte historique et chronologie de la bataille de la Somme.
Bonus : un éclairage sur l'offensive allemande du printemps 1918 par Jean-Yves Le Naour
Holgado et Marko / Jean-Yves Le Naour, Bamboo (Grand Angle), 2018, 48 p.
Jean-Yves Le Naour passeur de la grande et de la petite histoire
Julie Ferval, Le Telegramme, 18 octobre 2018.
Dans sa dernière lettre à sa femme, le 11 juin 1916, le sous-lieutenant Gustave Herduin, fusillé sans jugement sur le champ de bataille de Verdun, clame son innocence. Pour son épouse Fernande commence alors une bataille judiciaire de longue haleine pour obtenir sa réhabilitation. Plainte contre les chefs qui ont condamné arbitrairement son mari, polémique de presse, scandale parlementaire, tout est bon pour alerter l’opinion et forcer la main au ministre de la Guerre qui ne veut pas rouvrir le dossier. L’histoire vraie de dix ans de combat, une histoire d’amour et de fidélité, au nom de la justice et de l’honneur.
Perrin, 2018, 1500 p.
Cette édition regroupe les cinq essais parus précédemment chez Perrin
1914 : la grande illusion
1915 : l'enlisement
1916 : l'enfer
1917 : la paix impossible
1918 : ou l'année de l'étrange victoire
6 juin 1944 : Quand de Gaulle a dit non… aux Alliés, sur France inter, dimanche 17 juin 2018 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, «Autant en emporte l’histoire»
1940, l’homme qui a dit non, sur France inter, dimanche 25 juin 2017 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, «Autant en emporte l’histoire».
Charles De Gaulle, prisonnier des Allemands, sur France inter, dimanche 4 ocotbre 2015 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire ».
Madame Caillaux a perdu ses nerfs!, sur France inter, dimanche 18 mars 2018 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire».
Claude Plumail / Jean-Yves Le Naour, Bamboo (Grand Angle), 2018, 48 p.
Mai 1968. De Gaulle s'ennuie. Pour lui, il n'y a plus rien de grand à accomplir. Survient la crise estudiantine, sociale et politique qui secoue le régime et lui redonne l'envie d'en découdre. Se référant sans cesse à mai 1958 et à la façon dont, dix ans plus tôt, il a roulé les militaires, les pieds-noirs et les parlementaires de la IVe République, Charles de Gaulle pense facilement venir à bout des contestataires, avec la maestria politique dont il est coutumier. Mais rien ne marche.