Coffret, Bamboo (Grand Angle), 2019.

Cette édition regroupe les trois premiers tomes de cette série :
Tome 1 : Pierre Messmer
Tome 2 : Général Leclerc. Le serment de Koufra
Tome 3 : Jean Moulin
Guerre 1914-1918 - Histoire du XXe siècle
Cette édition regroupe les trois premiers tomes de cette série :
Tome 1 : Pierre Messmer
Tome 2 : Général Leclerc. Le serment de Koufra
Tome 3 : Jean Moulin
Fin 1940, le colonel Philippe Leclerc, aux ordres de de Gaulle, décide d’attaquer Koufra, une oasis libyenne située à plus de 1 500 km. La mission semble démentielle, car il faut traverser la ramla, un sable dans lequel les voitures s’enfonceront, puis la hamada, le reg, la roche mise à nu par le vent. Sans compter ces montagnes qui culminent à plus de 3 000 mètres. Le tout sans routes, sans cartes, sans points d’eau et avec le vent. Pourtant, avec 400 hommes et 56 véhicules, Leclerc va tenter l’impossible pour mettre en déroute l’armée italienne.
Le monument américain de Meaux
Le cimetière de Chambry
Notre Dame de la Marne
La grande tombe. Charles Péguy
L'armistice, sur France inter, dimanche 11 novembre 2018 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, «Autant en emporte l’histoire».
Consulter le dossier de presse
Visionnable à cette adresse : https://fr-fr.facebook.com/france3/videos/doc-la-guerre-de-tous-les-fran%C3%A7ais/1060553477461536/
Ce documentaire livre un récit du quotidien des Français pendant la Grande Guerre. Car la victoire de novembre 1918 fut avant tout celle d'un pays qui a su mobiliser ses ressources, ses bras et sa volonté. Elle doit son avènement à la foule des sans-grades, des obscurs, des anonymes. Dans cette première guerre totale, chacun tenait sa place : les enfants dans les écoles, les ouvrières dans les usines, les paysans dans les champs, les boulangers dans leurs ateliers, les députés dans les commissions parlementaires ou encore les maires dans leur commune ont, chacun à leur manière, opposé leur résistance à l'ennemi en fournissant les ressources nécessaires à l'effort de guerre.
Film labellisé par la mission centenaire
Présentation des grandes périodes de la Guerre 14-18 par Jean-Yves Le Naour.
Jean-Yves Le Naour / Philippe Nivet, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Picardie : contexte historique et chronologie de la bataille de la Somme.
Bonus : un éclairage sur l'offensive allemande du printemps 1918 par Jean-Yves Le Naour
Jean-Yves Le Naour passeur de la grande et de la petite histoire
Julie Ferval, Le Telegramme, 18 octobre 2018.
Dans sa dernière lettre à sa femme, le 11 juin 1916, le sous-lieutenant Gustave Herduin, fusillé sans jugement sur le champ de bataille de Verdun, clame son innocence. Pour son épouse Fernande commence alors une bataille judiciaire de longue haleine pour obtenir sa réhabilitation. Plainte contre les chefs qui ont condamné arbitrairement son mari, polémique de presse, scandale parlementaire, tout est bon pour alerter l’opinion et forcer la main au ministre de la Guerre qui ne veut pas rouvrir le dossier. L’histoire vraie de dix ans de combat, une histoire d’amour et de fidélité, au nom de la justice et de l’honneur.
Cette édition regroupe les cinq essais parus précédemment chez Perrin
1914 : la grande illusion
1915 : l'enlisement
1916 : l'enfer
1917 : la paix impossible
1918 : ou l'année de l'étrange victoire
6 juin 1944 : Quand de Gaulle a dit non… aux Alliés, sur France inter, dimanche 17 juin 2018 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, «Autant en emporte l’histoire»
1940, l’homme qui a dit non, sur France inter, dimanche 25 juin 2017 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, «Autant en emporte l’histoire».
Charles De Gaulle, prisonnier des Allemands, sur France inter, dimanche 4 ocotbre 2015 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire ».
Madame Caillaux a perdu ses nerfs!, sur France inter, dimanche 18 mars 2018 à 21h00, dans l’émission de Stéphanie Duncan, « Autant en emporte l’histoire».
Mai 1968. De Gaulle s'ennuie. Pour lui, il n'y a plus rien de grand à accomplir. Survient la crise estudiantine, sociale et politique qui secoue le régime et lui redonne l'envie d'en découdre. Se référant sans cesse à mai 1958 et à la façon dont, dix ans plus tôt, il a roulé les militaires, les pieds-noirs et les parlementaires de la IVe République, Charles de Gaulle pense facilement venir à bout des contestataires, avec la maestria politique dont il est coutumier. Mais rien ne marche.
Un soldat qui meurt au front, c’est une famille dévastée à l’arrière. Clémence a 10 ans et vit à Charnay-Lès-Mâcon. Elle doit présenter un exposé à sa classe, mais n’a aucune idée de ce dont elle peut parler. En passant devant le monument aux morts, elle remarque son nom de famille. Elle a donc un ancêtre qui est mort pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Le voilà son sujet d’exposé ! En cherchant dans le grenier de ses grands-parents, mais aussi dans les archives départementales, Clémence va faire connaissance avec son aïeul et découvrir une autre histoire de la Grande Guerre, celle que l’on ne voit jamais : celle de l’arrière, loin des tranchées.
Le samedi 1er août 1914 le tocsin sonne. Dès le lendemain, les hommes montent dans les trains, laissant derrière eux femmes, enfants, terroirs… La guerre va durer cinq ans, pour tous les Français, dont les habitants du Vaucluse. A partir d'un faisceau de sources diverses (archives, correspondances, témoignages), d'images inédites, Serge Truphémus restitue la vie à "l'arrière" en écrivant une histoire du Vaucluse durant la Grande Guerre, faite d'épisodes dramatiques comme d'anecdotes cocasses. Un quotidien difficile aussi pour ceux qui, loin des affrontements meurtriers, vivent au rythme des nouvelles du front, de l'accueil des réfugiés et des blessés, de l'annonce tant redoutée des morts… dans l'attente éprouvante de la fin d'une guerre atroce et interminable. Lorsque l'armistice arrête les combats le 11 novembre 1918, les soldats mettent encore des mois pour rentrer chez eux, dans une société meurtrie qui s'interroge alors sur la manière d'honorer tous ses enfants morts.
Août 1914 : l'armée française fait une courte incursion en Alsace, puis, contrainte de se replier, elle arrête des milliers de civils, fonctionnaires (alsaciens ou allemands venus d'outre-Rhin après 1871) occupant des postes dans l'administration impériale, ou simplement personnes perçues comme germanophiles et donc soupçonnées d'espionnage. L'histoire de ces milliers d'Allemands et d'Alsaciens, déportés par l'armée française en 1914, est tombée dans l'oubli. Des centaines d'entre eux furent internés au large de Marseille dans les premiers mois du conflit, au château d'If, puis sur les îles du Frioul où ils rejoignirent des compatriotes arrêtés sur l'ensemble du territoire national au simple motif qu'ils étaient ressortissants d'une nation ennemie ; les uns travaillaient en France depuis des années, d'autres eurent juste le malheur de se trouver sur un bateau qui avait fait escale à Marseille fin août 1914. Jean-Louis Spieser a retrouvé et traduit onze de leurs témoignages. D'origines très diverses, ils racontent tous l'histoire pitoyable de femmes, d'enfants et d'hommes prisonniers dans des conditions effroyables. Ces textes révèlent une page de la guerre peu glorieuse et encore inconnue du grand public. "Pourtant, estime Jean-Louis Spieser, un siècle après, on peut bien en parler, non ? Je ne veux pas que ces voix tombent dans l'oubli".
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